Un nom à apposer sur une page d’histoire qui se tourne ? NON !
Une page d’histoire de l’Amérique
latine, martyrisés par d’autres peuples venus évangéliser, piller,
coloniser les Indiens, amenant des esclaves depuis le continent Africain, s’est
écrite et ne peut être tournée. Sur ce continent existe une île, la grande île,
la perle des caraïbes : CUBA en forme de Caïman, peuplé d’hommes métissés, de toutes les couleurs.
Sur cette île, pour le
peuple Cubain, les libérateurs ont pour nom : Carlos Manuel Cespedes, 1819-1874,
mort au combat contre les espagnols pour l’independance de l’ile et la
République fut proclamée en 1869, . José Marti, 1853-1895, inspirateur de la révolution
cubaine. Camilo Cienfuegos, Ernesto Guevara (Le CHE) et Fidel Castro Ruiz. A Cuba, le peuple l’appelle : Fidel. C’est tout. Avec affection et respect. C’est
tout.
Fidel c’est celui qui,
participant lui même aux combats, a permis de bouter hors du pays, le dictateur
Fulgencio Batista, fidèle valet des USA qui avait fait de l’île « Le Bordel des USA ».
Fidel a rendu au pays sa
souveraineté et la dignité d’être Cubain.
Fidel c’est celui qui a
tenu tête à quelques onze présidents états-uniens, entre 1959 et 2006, échappant à
tellement d’attentats fomentés par la CIA .
Mais les USA et leurs valets
du monde dit libre, n’ont pas supporté qu’un si petit état leur tienne tête. Alors : la baie des cochons, les agressions
continuelles contre un pays souverain ont poussé Fidel à se tourner vers l’URSS
pour permettre à son peuple de manger. Ce n’était pourtant pas prévu. Mais le
BLOCUS ! Et Fidel a enfermé son île.
Comment peut on réussir
enfermé et supportant un Blocus?
Pourtant des avancées, des
améliorations de la vie de ce peuple du tiers monde, il y en a eu. La révolution Cubaine c’est le droit à l’éducation
pour tous, la culture pour tous, l’accès
aux soins équitablement pour tous qui
font aujourd’hui de Cuba le pays où la mortalité péri natale est inférieure à celle des USA (oui oui oui )… mais le
repliement c’est aussi une démocratie différente du sens où nous l’entendons. Et c’est
uniquement cela que le monde dit libre veut retenir!
Qu’aurions nous fait?
Moi, je veux retenir l’immense
espoir qu’ont donné au peuple Cubain, aux peuples d’Amérique latine, aux peuples
du monde entier Fidel et ses barbudos, un jour de 1959. L’espoir que rien n’est jamais définitif, que les peuples
unis peuvent se libérer.
La révolution Cubaine n’est
pas morte, elle appartient au peuple cubain et nous n’avons pas de leçon à leur
donner.
Avec Fidel au coeur,
chantons : Hasta
La Victoria Siempre
Anne Marco
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